dimanche 4 octobre 2009

Une question idiote sur les transsexuels ? Calpernia Addams répond



L'actrice et activiste [Calpernia Addams->http://en.wikipedia.org/wiki/Calpernia_Addams] a tourné cette vidéo hilarante pour expliquer aux imbéciles, ignares, crétins, bref aux idiots de toute sorte, les questions qu'il est inutile de poser à un transsexuel. Voilà, vous êtes prévenus.

"Le mauvais trou", si...romantique



Cette chanson hilarante aurait pu s'appeler le Sonnet du trou du cul, mais c'était déjà pris.

S'il vous plaît, merci de bien regarder cette vidéo : je n'ai pas précisé qui était le trou du cul, dans l'histoire.

Ton p'tit doigt m'a dit...




C'est pas la peine de vous moquer des blondes. Réfléchissez un instant. A la place de cette fille ça pourrait très bien être vous : une brune, une rousse. Ou bien un homme. Un grand ou un petit, un enfant ou un vieillard. Voire une vieillarde. Le vrai problème ce sont le caméras de surveillance. Non ?

Cybersexe au travail : ça branle dans le manche


Le travail devient-il, pour paraphraser Oscar Wilde, le fléau des classes qui se branlent ? En Australie, la pratique du sexe virtuel est une préoccupation croissante dans le monde du travail. Selon une étude de la Swinburne University of Technology de Melbourne, de plus en plus de personnes demandent à se faire traiter contre cette forme de dépendance.

Une étude réalisé par Marcus Squirrell, un docteur qui a sondé plus de 1300 utilisateurs qui fréquentent régulièrement des sites de sexe on-line, révèle qu’un pourcentage « assez grand » des répondants ont admis prendre part à des activités de cybersexe en-dehors du confort douillet de leur maison.

C’est comme ça, admet en substance le chercheur. Une fois qu’on en a tâté à la maison, on a envie de continuer au travail. « Ces gens mettent tant d’énergie dans le cybersexe - dans certains cas, jusqu’à dix heures par jour - que cela nuit à leur relation avec leur partenaire ». Tu m’étonnes. Et Marcus de préciser que cela peut nuire également à d’autres domaines, comme les études... ou le travail.

Mais il n’est pas si simple de s’arrêter de bander. De bander ? Oui, Marcus Squirrell précise que plus de la moitié des participants qui se livrent au cybersexe sont mariés ou engagés et que se sont essentiellement des hommes, bien éduqués, et âgés de 41 ans en moyenne.

Bref, les candidats au sevrage connaissent les symptômes habituels : « Ils deviennent souvent irritable, en colère et généralement très inquiets ». Ils utilisent cette forme de sexualité pour réguler leur humeur. C’est vrai que tirer un bon coup ça fait du bien.

Peut-être faudrait-il lancer le sexe participatif au travail. A plusieurs c’est mieux que tout seul, non ? Qu’en pensez-vous, mes petits agneaux ?

Changez vos seins !





Excellente et très drôle campagne marketing de Goomradio.fr. Avec, de haut en bas, Katie Holmes et Teri Hatcher, vedettes des séries Dawson et Desperate housewives.

Le crâne d’Hitler n’était pas le sien


C’est une tempête sous un crâne ! Celui, supposé, d’Adolf Hitler. Les scientifiques sont formels.

D’après une récente étude américaine, ce crâne, qui est la propriété de la Russie depuis sa récupération par les troupes soviétiques en 1945, n’est pas celui d’Adolf Hitler, mais aurait contenu le cerveau d’une femme dont on n’a pu identifier l’origine.

Ce qui suscite de nombreuses interrogations : Hitler était-il Hitler ? Hitler était-il une femme déguisée en homme (en bref un travesti) ? Si Hitler n’était pas Hitler qui était Hitler ?



Récupéré par les troupes soviétiques au moment de la bataille de Berlin, ce crâne percé d’un trou causé par le projectile d’une arme à feu était réputé être celui du dictateur nazi qui se serait suicidé au moment de la capitulation du Reich en se tirant une balle dans la tête. Bien que cette thèse soit constamment et régulièrement réfutée, c’est la plus probante.

En 2000, le débat autour du crâne a rebondi lors de l’exhibition de ce trophée présenté pour la première fois au public par les Archives fédérales de Moscou. Un trophée, est-il utile de le préciser, qui faisait l’orgueil des Russes. Les troupes soviétiques avaient non seulement récupéré le crâne percé, mais également la machoire du dictateur nazi qu’ils avaient fait authentifiée par le dentiste personnel d’Adolf qui, comme chacun sait, n’a plus eu jamais mal aux dents à partir du 30 avril 1945.

Des professeurs de l’Université du Connecticut viennent de faire avancer la science en démontrant, examens à l’appui, que ce fragment de boîte crânienne était féminin, dont l’âge se situe probablement entre 20 et 40 ans. D’évidence il ne s’agit pas d’Adolf Hitler.

Selon l’Afp qui a révélé cette information, l’archéologue et spécialiste des os Nick Bellantoni avait immédiatement soupçonné que l’os appartenait à une femme en raison de sa structure. Linda Strausbaugh, directeur du Centre de génétique appliquée de l’université, qui a travaillé avec lui sur ce sujet a effectué des prélèvements ADN qui se sont révélés sans équivoque. Ils ont été assistés par deux médecins légistes du bureau de l’Attorney de New York. Pourtant le crâne avait été conservé à température ambiante pendant de longues années et l’un de ses côtés avait également été carbonisé, deux éléments qui ne facilitent pas la recherche d’ADN.

Mais, a précisé Linda Strausbaugh, l’intérieur du fragment n’a pas été incendié, ce qui a donc permis d’établir le résultat et d’aboutir à la conclusion que « ce que l’ADN nous a dit, c’est qu’elle était une femme ».

Escape Hitler, un documentaire diffusé aux Etats-Unis sur la chaîne History Channel revient sur le sort final du tyran qui se serait échappé de Berlin. « Mais, précsie l’AfP, Strausbaugh dit que son test ne prouve rien sur le sort d’Hitler - seulement que ce qui était censé être son crâne appartenait en réalité à quelqu’un d’autre ». Pour les historiens cette découverte ne change rien.

Christopher Browning, professeur à l’University of North Carolina à Chapel Hill, a déclaré que « les résultats des essais sur le crâne ne changerait pas le consensus selon lequel Hitler est mort dans le bunker […] Rien de tout cela ne dépend de la validité présumée d’un organe ou du crâne en possession de la Russie », souligne-t-il encore en rappelant que les Soviétiques avaient souvent déterrés les crânes supposés d’Hitler, d’Eva Braun ou de Goebbels ainsi que de sa femme et de ses enfants.

Crédit image : dday-overlord

Lady Gaga est-il une femme ?



Une lady ne peut être qu'une femme. Ou alors c'est de l'usurpation et c'est un scandale. Des clichés apparaissent en ce moment sur le net montrant la célèbre performeuse avec rien moins qu'un pénis entre les jambes. Mais il n'est pas du tout prouvé que cela soit le sien. Encore une rumeur ? Au-delà de la question du genre, n'est-ce pas une question citoyenne ?

Lady Gaga, alias Stefani Joanne Angelina Germanotta, est née le 28 mars 1986 à New York. Cette chanteuse, auteur-compositrice-interprète s'est rapidement fait connaître grâce à ses chansons (Just dance, Poker face...) et à son sens de la performance. Elle vient d'ailleurs d'être récompensée par deux MTV Video Music Awards en tant que Révélation de l'Année et Meilleure Danse dans un Clip.

Mais les récompenses ne suffisent pas. Comme il faut bien exister pour vivre, cette star du show biz n'a de cesse d'alimenter la rumeur pour qu'on parle d'elle. Dernière en date : elle serait un travesti. Cette information n'en est pas une. Moi, Omnibuzz, je dis à la face du monde que cette charmante Lady ne pouvait pas être bel et bien un homme. Ou alors c'est un bien bel homme. Pourtant le doute s'immisce dans nos esprit. Doute que vient conforter la vision de cette vidéo.

C'est de là que le scandale est parti. On y voit Lady Gaga sur scène, entourée de ses musiciens, descendre d'une motocyclette. Lorsqu'elle rajuste sa robe ultra-moulante on voit clairement un pénis. Sur le site ABCNews, le manager de la star a beau démentir (et nous le croyons volontiers) - selon lui, cette proéminence n'est pas un pénis mais un effet visuel dû à l'angle de la caméra [humhum, note du rédacteur] - ces « rumeurs » sont « ridicules » et n'ont aucun fondement.

Selon certaines sources dignes de confiance, la principale intéressée aurait ri en apprenant cette - fausse - nouvelle. Mais rappelons-nous tout de même que le pseudo de Lady Gaga vient de Radio Ga Ga, du groupe britannique Queen, mot qui en argot signifie homosexuel...

De toute façon, le mystère ne devrait pas demeurer longtemps puisque Lady Gaga a récemment fait savoir lors d'un show télé qu'elle partageait le combat des anti-fourrures. La Peta, célèbre organisation internationale de défense des animaux lui a d'ailleurs demandé de poser nue (donc sans fourrure) à son bénéfice. L'association attend la réponse de la star.

Lady Gaga : à poil ou à vapeur ?